La première traduction anglaise, par Charles Wilkins, date de 1785. Elle est suivie par une traduction latine, par August Wilhelm von Schlegel, en 1823, allemande en 1826 par Wilhelm von Humboldt, française en 1846 par Lassens, et grecque en 1848 par Galanos. Le rôle des Allemands, qui n'avaient pas de colonies en Inde, dans ces études s'explique par leur intérêt bien connu pour la langue sanscrite. Sur ce point, on lira avec profit l'ouvrage de Pascale Rabault-Feuerhahn, L'Archive des origines. Sanskrit, philologie, anthropologie dans l'Allemagne du XIXe siècle. (Bibliothèque franco-allemande, 2008).
Humboldt ne s'est pas contenté de traduire, il a proposé un commentaire, qui insistait sur la signification morale du poème, que Humboldt rapprochait de l'éthique stoïcienne du détachement et du devoir. Hegel, dans son compte rendu critique du commentaire de Humboldt, a voulu au contraire montrer que ce rapprochement n'était que superficiel, que la pensée indienne ne pouvait se hisser jusqu'au concept de la subjectivité libre. Michel Hulin a dans une certaine mesure rendu justice à l'interprétation humboldtienne, tout en soulignant le caractère invertébré de la philosophie de Humboldt. Mais selon Hulin, l'interprétation de Hegel, certes plus systématique que celle de Humboldt, néglige la richesse du poème (Michel HULIN, Hegel et l'Orient. Suivi de la traduction annotée d'un essai de Hegel sur la Bhagavad-Gîtâ, Paris, Vrin 1979).
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ねずみ。mouse
mouse O.E. mus "small rodent," also "muscle," from P.Gmc. *mus (cf. O.N., O.Fris., M.Du. mus, Ger. Maus "mouse"), from PIE *muHs- (cf. Skt. mus "mouse, rat," O.Pers. mush "mouse," O.C.S. mysu, L. mus, Lith. muse "mouse," Gk. mys "mouse, muscle"). Plural form mice (O.E. mys) shows effects of i-mutation. Meaning "black eye" (or other discolored lump) is from 1842. Computer sense is from 1965, though applied to other things resembling a mouse in shape since 1750, mainly nautical. http://www.etymonline.com/index.php?search=mouse&searchmode=none