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上級フランス語講座コミュの【Idée week-end】

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☆Barcelone☆

Le long des pavés, la plage. Barcelone se visite aisément à toute saison. Après l’été torride, septembre reste un mois idéal pour profiter pleinement de cette métropole méditerranéenne, en alternant « trekking urbain »et baignades, musées et jeux de plage. D’autant que le réaménagement de ses quais maritimes et l’assainissement de ses plages, engagés lors des préparatifs des Jeux Olympiques de 1992 et poursuivis depuis, sont une réussite.


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C'est comment,Barcelone?

Architecture fantaisiste, plages, parcs et bars à tapas... Capitale économique et culturelle du nord de l'Espagne, Barcelone, se vit de jour comme de nuit, avec l'accent catalan s'il vous plaît !

Si Barcelone était à vendre, sa situation géographique à elle seule lui vaudrait une fortune : elle est toute proche de la France, des Pyrénées, de la mer, des églises et monastères romans ou gothiques, de la région viticole de Penedès et des splendeurs de la Costa Brava, de la cité romaine de Tarragona et de la cité médiévale de Girona... Véritable métropole européenne, la capitale catalane est l'une des plus dynamiques et passionnantes du littoral méditerranéen. Terre d'élection de très nombreux artistes (Picasso, Miro, Dali et bien sûr Gaudi), ville des Jeux Olympiques de 1992, haut-lieu de la gastronomie et de la fête, Barcelone vous offre mille et un délices.

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<Le Barrio Gótico à Barcelone>

Ensemble de ruelles sinueuses et ombragées, de petites placettes aux formes irrégulières, d’églises monumentales et de palais civils, le passé médiéval de la ville est une réalité bien concrète.


Tel que vous le visitez aujourd’hui, le quartier médiéval est né d’un projet de réappropriation du patrimoine au XIXe siècle. L’appellation même de « Barrio Gótico » ou « Barri gotic » en catalan (quartier gothique) n’est en usage que depuis le XXe siècle. Barcelone est une ville emblématique de cette vague d’engouement pour le Moyen Âge, née au XIXe siècle sous la plume des romantiques et sur les plans des architectes, que l’on retrouve aussi bien en France avec Viollet-le-Duc qu’en Russie. Motivés par des raisons autant politiques que religieuses – mettre en avant une période d’apogée politique et commerciale et se rapprocher de l’Eglise après un temps de heurts – le quartier médiéval renaît alors de ses cendres. Ainsi du dernier quart du XIXe siècle au premier quart du XXe siècle, la cité de Barcelone s’apparente à un vaste chantier à ciel ouvert : non seulement la superficie de la ville est multipliée par trois, dans le cadre de l’Eixample « l’agrandissement », plan urbanistique de modernisation mais son vieux centre connaît aussi de nombreux réaménagements.

Un exemple tout à fait frappant est celui de la cathédrale Sainte-Croix et Sainte Eulalie. Bien qu’elle soit nichée au cœur du Barrio Gótico, elle est finalement assez peu connue, détrônée par la fameuse Sagrada Familia, œuvre maîtresse de Gaudi bien plus excentrée qui était justement destinée à servir de grande église paroissiale aux quartiers du Barcelone moderne. La cathédrale médiévale était restée inachevée et notamment, fait assez rare, elle n’avait aucune décoration sur sa façade, celle-ci se résumait à un grand mur aveugle. La façade riche en pinacles, lanternes et statues que l’on peut voir aujourd’hui est en fait une construction néogothique des années 1880. C’est la grande bourgeoisie marchande qui finança les travaux afin de recentrer la municipalité autour d’un cœur catholique et conservateur, mis à mal lors de la Première République espagnole.
Le parvis de la cathédrale fut alors aménagé, de même que furent rendus de nouveau visibles les remparts anciens, jusqu’alors dissimulés par des habitations. Bref, l’aspect qui nous semble tout médiéval est en fait bien plus récent.

Exactement dans le même état d’esprit, on réaménagea la Plaza del Rey, le cœur historique de la principauté de Catalogne. C’est ainsi que la bâtisse qui abrite aujourd’hui le musée d’histoire de la Ville et qui ferme le côté droit de la place fut ajoutée afin de créer un espace plus resserré et d’accentuer l’atmosphère médiévale du lieu. Cette belle demeure du XVe siècle, appelée alors la Casa Clariana-Cadellas, était menacée par un projet de grande avenue dans la partie occidentale de la ville. C’est ainsi qu’elle fut déplacée et remontée pierre par pierre.

Il faut dire qu’il ne restait pas grand-chose du faste palatin d’antan. Rappelons que Barcelone fut du IXe au XIIe siècle la capitale d’un comté, sous la dépendance nominale de l’empereur carolingien, puis l’une des capitales d’un royaume, après l’alliance matrimoniale avec la couronne d’Aragon. Le palais des premiers comtes fut détruit par le vizir al-Mansur, celui-là même qui déroba les cloches de Saint-Jacques de Compostelle et du Palais royal majeur, il ne reste qu’une vaste salle voûtée (le Salon du Tinell) et la chapelle royale Sainte-Agathe. La Tour de défense (Torre del Mar) qui domine la place est un ajout du XVIe siècle, de l’époque de Charles Quint.

Le quartier plus authentiquement médiéval se trouve en réalité en dehors du Barrio Gótico à proprement parler, dans le quartier de la Ribera, « de la rive » qui fut édifié au XIVe siècle en dehors des remparts et qui est aujourd’hui un des plus agréables de la ville. On ne peut évoquer cette période d’âge d’or de la Catalogne sans aborder la puissance maritime et marchande de la cité. Grâce à une active politique de conquêtes et d’alliances matrimoniales de ses dirigeants, la couronne d’Aragon se retrouve à la tête d’un vaste empire commercial (Baléares, Sicile, Naples…) et Barcelone devient une cité maritime florissante qui peut rivaliser avec Gênes. Le cœur de ce quartier est l’église Sainte-Marie de la Mer, ancienne paroisse des armateurs et des marchands. Les bas-reliefs sculptés sur la transenne rendent compte de l’animation des quais : ils présentent des marchands en train de vérifier la qualité du blé et des « débardeurs », l’équivalent de nos dockers, qui chargent et déchargent les navires. Et surtout prenez le temps de flâner dans les rues à arcades qui sont perpendiculaires au Passeig del Born, c’est là que vous dégusterez les meilleures « tapas de la mer ».

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☆Barcelone☆

<carrefour des avant-gardes>

pour la période Art nouveau, appelé en Espagne « el modernismo », mouvement artistique européen compris entre les années 1890 et 1914.
Un nom vous vient d’emblée à l’esprit, l’architecte et sculpteur Antoni Gaudi dont la visite des réalisations fantasques peut être un but de séjour à lui seul (maisons du Passeig de Gracia, parc et palais Guëll, Sagrada familia…).

Pour ma part, je vous conduirai directement au lieu le plus attachant de cette route de l’Art nouveau : le Palau de la Musica Catalana, œuvre de Lluis Domènech y Montaner, inauguré en 1908. Cette salle de concert est une œuvre d’art totale qui résume l’esprit de l’Art nouveau.

Ce monument est une prouesse technique par les matériaux utilisés (parmi les premières utilisations du fer laminé, vaste coupole de verre) mais également en raison de l’étroitesse du lieu. L’architecte réussit le pari de créer une salle de concert avec une forte identité visuelle, très fonctionnelle et cela sur une petite superficie, coincée entre église et maisons et cela en un temps record de trois ans. On imagine plus tout à fait aujourd’hui ce défi car depuis 2004 l’église attenante fut détruite (après de longues tractations pour obtenir l’autorisation du Vatican) et le mur de cette église est juste symbolisé par un grand mur de verre transparent.

Ensuite, on peut dire que tout le « monument fait sens ». L’idée générale à défendre est celle de l’universalité de la musique, de l’esprit de liens et d’ouverture qu’elle donne. Egalement l’idée que toutes les musiques se valent, celle de Bach, de Wagner comme celle des chorales populaires et du folklore. Rappelons que le commanditaire de ce Palau est l’Orfeo catala, une chorale ouvrière de Catalogne. Tout le monument est ainsi construit sur le principe de l’ouverture, de liens intérieur-extérieur dont la limite est volontairement floue. Prenons quelques exemples : passé la première porte, on entre dans un hall formant comme une deuxième façade avec des lampadaires ; la salle de concert est uniquement éclairée par la lumière naturelle ; la salle dite de repos est un jardin intérieur fait de grandes verrières, les colonnes intérieures et extérieures sont tels des arbres...
Enfin, ce projet comporte une dimension sociale : cette salle de concert devait être ouverte à tous, pas de bancs réservés comme à l’opéra du Liceu situé sur la Rambla. Ici chacun peut acheter un billet, certains concerts étaient même gratuits (tradition qui dure jusqu’à nos jours) et ce fut une des premières chorales d’Europe à faire chanter les femmes.
En sortant du Palau de la Musica, une halte s’impose au Café El Quatre Gats, situé à deux rues, ouvert sur le modèle du cabaret le Chat noir à Paris et repère de tous les artistes et intellectuels d’alors. Décoration d’époque garantie.

Enfin, à la nuit tombée lorsque les façades sont bien éclairées, c’est le moment idéal pour découvrir l’ancien quartier élégant de Barcelone sorti de terre à la fin du XIXe siècle, le Passeig de Gracia. Tandis que depuis une trentaine d’années se construisent des unités d’habitations sur un modèle unique, l’élite urbaine réagit contre cette uniformisation et se livra à une surenchère pour afficher sa modernité d’esprit. Gaudi ne pouvait rêver mieux pour laisser libre court à l’extravagance de son imagination.
☆Barcelone

<cité des artistes>
De Miró à Picasso, les peintres ont laissé leurs empruntes à Barcelone…Et pour découvrir la cité des artistes aux heures chaudes de la journée, voici notre parcours.

En guise d’introduction à l’art moderne, je vous conseille tout particulièrement un détour par la collection d’art roman du MRAC (Musée régional d’art de Catalogne situé sur la colline Montjuïc). Elle vous présente un vaste ensemble de fresques et de sculptures sur bois. Les traits noirs qui délimitent les silhouettes des saints, leurs grands yeux ouverts et leur représentation en aplat, en deux et non trois dimensions ont quelque chose de moderne. Miró lui-même, dont la Fondation se trouve également sur cette colline, a raconté combien d’heures il a passé dans ces galeries, et a cité les grands Christs en majesté comme une source majeure d’inspiration.

Et puis, même si vous avez l’impression de tout connaître sur ce peintre à l’œuvre abondante, je vous convie à visiter le musée Picasso de Barcelone. Situé dans la charmante rue Montacda, dans d’anciennes maisons de la bourgeoisie d’affaires des XIVe et XVe siècles, c’est le premier musée en l’honneur du peintre qui a ouvert ses portes dès 1963, soit durant l’Espagne franquiste.

Le musée s’appelait alors Collection Jaume Sabartès, du nom de son ami et secrétaire particulier, qui a légué sa collection personnelle pour permettre à ce projet d’exister et pour ne pas trop attirer l’attention sur le peintre auteur du « Guernica ». Ce musée est surprenant car il comporte très peu d’œuvres sur sa période cubiste qui est la plus connue, les œuvres présentées nous montrent surtout ses œuvres de jeunesse (portraits de sa famille, travail d’école des Beaux-arts…). Surtout, une partie entière du musée est consacrée à l’hommage rendu par Picasso aux Ménines de Vélasquez. Magistral ! Cela nous permet de mieux réaliser certains détails du tableau que Picasso a volontairement grossi. Et c’est là une des plus belles invitations à se rendre à Madrid, après la visite de Barcelone. Contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire, les deux cités se complètent à merveille plus qu’elles ne s’opposent.
【Le Palais de la Venaria Reale】

Inauguré le 13 octobre 2007 après huit années de travaux, le Palais Royal de Venaria Reale, le « Versailles de Turin », ouvre ses portes au public. Découvrez l’un des plus beaux exemples de la magnificence et de l’architecture baroque internationale des XVIIe et XVIIIe siècles…
Après deux siècles d’abandon, l’inauguration du Palais représente l’étape fondamentale du projet de réhabilitation architecturale et paysagère de La Venaria Reale, réalisée entre le XVIIe et le XVIIIe siècle par les plus grands architectes de l’époque, Amedeo di Castellamonte, Michelangelo Garove, Filippo Juvarra et Benedetto Alfieri. Lieu de chasse et des plaisirs souverains, le Palais couvre une superficie de 80.000 mètres carrés avec ses nombreux corps de bâtiment, possède à lui seul quelques-uns des chefs-d’œuvre du Baroque européen : le Salon de Diane, réalisé au XVIIe siècle par Amedeo di Castellamonte, la Grande Galerie, l’église Saint-Hubert, l’ensemble de la Citronneraie et la Grande Écurie, fruits du génie de Filippo Juvarra au XVIIIe siècle.

Vu du ciel, le Palais dessine un espace de 950.000 mètres carrés d’architectures et de parcs, trône au centre de 80 hectares de jardins, avec le Grand Vivier, le centre historique citadin, le Bourg du Château et la Ferme Rubbianetta, un horizon de forêts et de châteaux qui s’ouvre à son tour sur les 6.000 hectares d’espaces verts du Parc de La Mandria.

Au centre du complexe monumental, le Palais devient un centre de production culturelle et de détente. Son parcours d’exposition permanente au cœur des appartements royaux, le complexe de la Citronneraie et la Grande Ecurie de Juvarra a été conçu pour dialoguer avec les expositions temporaires.

Le parc de la Venaria Reale dont le tracé des « Allées », vues et bosquets est redessiné, devient un lieu de loisirs et de spectacles : s’y dérouleront manifestations florales, jeux et sports, expositions d’art contemporain, concerts…Quant au parc du Bourg Château de la Mandria, il accueillera un hôtel, un lieu d’accueil pour les visiteurs, un centre d’exposition temporaires, une bibliothèque, une salle de conférence, un restaurant,…Les appartements royaux seront ouverts à la visite.

A l’ouest du Bourg Château de la Mandria, la restauration de la Cascina Rubianetta, originellement utilisée comme écurie royale, devient le Centre du Cheval, un lieu d'activités didactiques, théoriques et pratiques. On pourra y assister à des manifestations équestres et profiter de l'hôtellerie d'une capacité d'accueil de 30 personnes.


Le Palais de la Venaria Reale, la restaurationLa complexité du lieu, l’état de dégradation avancé des édifices, la présence d’ouvrages architecturaux monumentaux ont nécessité huit années de travaux, plus de 30 chantiers, l’emploi de 800 personnes,…Un programme européen très ambitieux pour réhabiliter un lieu exceptionnel.
Par sa complexité et ses dimensions, le projet de réhabilitation du site représente depuis 1997 l’un des programmes les plus ambitieux de conservation et de valorisation d’un bien culturel en Europe. Le projet a nécessité un investissement financier de 200 millions d’euros. Première grande étape de cette réhabilitation : le réaménagement des jardins historiques ouverts au public en juin 2007. L’inauguration du Palais en octobre, dix ans après son inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, marque une seconde étape décisive et s’ouvre sur une exposition temporaire, « Le Palais de La Venaria Reale et la Maison de Savoie. Art, magnificence et histoire d’une cour européenne » qui constitue l’introduction du parcours permanent de la visite.

Pour mener à bien les travaux, des techniques expérimentales de restauration architecturale ont été adoptées. Celles-ci ont été précédées de longues sessions d’analyses techniques, de recherches d’archives, d’études de nouveaux matériaux, destinés à redonner à l’ensemble toute sa dignité et son intégrité, sans en altérer les caractéristiques d’origine. La qualité et l’ampleur des travaux ont imposé le réaménagement de tout le territoire.

Les 1.000 mètres carrés de fresques et les 145.000 mètres carrés de stucs et d’enduits du Palais de La Venaria ont retrouvé leur éclat et leurs couleurs d’origine. Outre les salons, la restauration a porté également sur les œuvres d’art du Palais. Les dix tableaux de Jan Miel, représentant des scènes de chasse ont réintégré, après restauration, leur place d’origine dans le Salon de Diane, ainsi que six des dix Princesses à cheval. Depuis septembre 2006, l’église Saint-Hubert a retrouvé les deux précieux retables des autels latéraux de Francesco
Le Palais de la Venaria Reale, l'expositionLa grande exposition inaugurale, « Le Palais de la Venaria Reale et la maison de Savoie. Art et magnificence et histoire d’une cour européenne » (13 octobre 2007 – 30 mars 2008) présente l’illustre histoire de la dynastie des Savoie entre le XVIe et le XVIIIe siècle, dans la plus imposante de leur résidence.
A travers les 400 œuvres d’art provenant des musées italiens et internationaux les plus prestigieux tels que le Louvre, le Prado ou l’Hermitage, le parcours retrace l’histoire de la Maison de Savoie dont les origines remontent au début du XIe siècle et qui a marqué la région piémontaise.

L’exposition comprend des toiles d’artistes de renom notamment Antoine Van Dyck et Guido Reni, mais aussi des œuvres commandées à des sculpteurs, miniaturistes armuriers, ébénistes de l’époque. Tableaux, meubles, porcelaines, argents, bustes, tapisseries et autres éléments de décoration participent à la mise en scène de la vie de cour, appuyée par une reconstitution cinématographique orchestrée par Peter Greenway. Cinq sections, laissées à la créativité du metteur en scène anglais, permettent au visiteur de découvrir des moments de la vie des souverains et de leur entourage, des rites de chasse aux fêtes, de la vie privée aux grandes périodes publiques. Autant de scènes évocatrices, de voix et de visages qui contribuent à recréer l’atmosphère de l’époque…

Le parcours de la visite, occupant cinquante salles du sous-sol au premier étage, est un dialogue permanent avec les architectures du Palais. L’exposition conçue dans une logique évolutive poursuivra son récit dans le cadre de l’aménagement permanent et sera enrichi au fil du temps.
Le Palais de la Venaria Reale, approfondir la visiteHoraires d’ouverture
Mardi, mercredi, jeudi, samedi et dimanche : de 9 h à 20 h
Vendredi : de 9 h à 17 h
(dernière entrée, jusqu’à 90 minutes avant l’horaire de fermeture)
Repos hebdomadaire : lundi
♠Tarifs
Visite du Palais de la Veneria Reale et la maison de Savoie :
Plein tarif : 10 €
Tarif réduit : 7 € (plus de 65 ans, moins de 21 ans)
Tarif groupes : 7 € (avec réservation au moins 6 heures à l’avance. Maximum 25 personnes)
Tarif scolaires : 5 € (minimum 15 étudiants accompagnés d’un enseignant)
La visite inclut la visite du Palais de la Veneria Reale et la maison de Savoie, les expositions temporaires « Art, magnificence et histoire d’une cour européenne » et « Repeupler le Palais de P.Greenaway ».

Visite du Palais de la Veneria Reale et la maison de Savoie + visite des jardins :
Plein tarif : 12 €
Tarif réduit : 8 € (plus de 65 ans, moins de 21 ans)
Tarif groupes : 8 € (avec réservation au moins 6 heures à l’avance. Maximum 25 personnes)
Tarif scolaires : 5 € (minimum 15 étudiants accompagnés d’un enseignant)
La visite inclut la visite du Palais de la Veneria Reale et la maison de Savoie, les expositions temporaires « Art, magnificence et histoire d’une cour européenne » et « Repeupler le Palais de P.Greenaway », la visite des jardins du Palais.

Services proposés hors billet d’entrée
- Visites guidées pendant les horaires programmés, à acheter sur place (individuel) :
Tarif : 6,00 €
- Visites guidées sur réservation :
Tarif 80,00 € (groupes de 25 personnes maximum)
- Écoles – Visites guidées sur réservation :
Tarif 60, 00 € (groupes de 25 personnes maximum)
- Visites guidées sur réservation Palais + Jardins :
Tarif : 150,00 € (groupes de 25 personnes maximum)
- Écoles - Visites guidées sur réservation Palais + Jardins :
Tarif : 110, 00 € (groupes de 25 personnes maximum)
- Audio guide :
Tarif : 4,00 euros

Visites guidées des Jardins du Palais de La Venaria Reale
Du Grand Vivier aux restes du Temple de Diane en passant par les Grottes, le site archéologique de la Fontaine d’Hercule, les tonnelles des Roses, le Jardin à Fleurs, les Allées, et, en visitant le Jardin des Sculptures Fluides du maître Giuseppe Penone : les parcours guidés permettent de découvrir les Jardins, de connaître leurs vicissitudes historiques et architecturales et les différentes phases du projet de réaménagement, sans oublier des informations sur l’appareil botanique et les compositions florales.

Services proposés hors billet d’entrée

Visites guidées pendant les horaires programmés, à acheter sur place (individuel) :
durée 1 h 20, tarif 4,00 €
Visites guidées sur réservation, durée 2 heures (réservation 24 heures à l’avance pour italien/anglais/français/allemand, au moins 72 heures pour les autres langues) :
Tarif : 80,00 €, groupes de 25 personnes maximum
Écoles – Visites guidées sur réservation :
Tarif : 60,00 €, groupes de 25 personnes maximum

Audio guide :

Tarif : 3,00 €
Activité didactique (sur réservation) par personne comprenant également le billet d’entrée :
Tarif : 4,00 € (groupes de 25 personnes minimum et 40 personnes maximum)

Exonérations

Sur présentation du document personnel attestant de l’exonération, ont accès gratuitement au site :
- Les collaborateurs du Ministère pour les Biens et les Activités culturelles
- Les Forces de l’ordre en service (Police, Carabiniers, Douaniers)
- Les enfants de moins de 12 ans (accompagnés d’un adulte)
- Les accompagnateurs scolaires : maximum 2 accompagnateurs pour 25 personnes
- Les accompagnateur de personnes handicapées

Conventions

Sur présentation du document personnel et/ou coupon, ont accès au site :
- Les titulaires de la Carte musées (GRATUIT)
- Les titulaires du coupon Passepartout (RÉDUIT)
- Les titulaires du coupon ValoreClub (RÉDUIT)

En savoir plus sur la visite de la Venaria Reale :

Tous les renseignements sont disponibles :
sur le site www.lavenaria.it
au numéro vert 00800 11133300
☆Rome☆

〜échappée romanthique〜

« Mon dernier rêve sera pour vous » murmure en 1803 Pauline de Beaumont venue rejoindre son amant Chateaubriand à Rome. La ville tant aimée, peinte, décrite rend toujours les amoureux lyriques. Son nom déjà est promesse d'amour : écrit à l'envers Roma donne le palindrome Amor. Sur ses lieux mythiques, partons pour quelques promenades romantiques, historiques et gourmandes.

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La Dolce Vita, de la fontaine de Trévi au palais Farnèse La fontaine de Trévi adossée au palais Poli est éblouissante et beaucoup plus grande qu'on l'imagine. De là, je vous entraîne dans les quartiers les plus attachants du vieux Rome. Pour notre plus grand bonheur, les artistes nous ont réservé quelques surprises.
A la fontaine de Trévi, les cinéphiles se rappellent d'Anita Ekberg se baignant au milieu des Tritons dans le film de Fellini, la Dolce Vita. Les amoureux doivent jeter deux pièces dans l'eau, par-dessus leur épaule. Une pour rendre leur amour éternel. L'autre pour revenir à Rome. Autour, je vous emmène flâner dans l'un des quartiers les plus attachants de la ville. Pour déguster une glace, prendre sur la place de Trévi, la via Lavatore puis via della Panetteria : Il gelato di San Crispino propose des alliances délicates : réglisse-citron ou orange-gingembre. Si l'heure est celle du brunch ou du repas, chez Obika (via dei Prefetti, 26), vous testerez la meilleure mozarella di buffala, ce fromage moelleux au lait de bufflonne.

Ensuite, cap sur la place rococo de San Ignazio : un véritable décor de théâtre. De la nef de l'église, les proportions de la coupole impressionnent. Quand on avance vers le chœur, la surprise est totale : faute d'argent pour construire la coupole, Andréa Pozzo, théoricien de la perspective, en peignit une en trompe-l’œil. Autre découverte sur la piazza di Pietra. Dans la façade de la chambre d'agriculture, onze colonnes de marbre blanc sont encastrées. L'explication est donnée dans une vitrine en face du bâtiment. Une maquette présente l'édifice dans sa version antique : un temple dédié à l'empereur Hadrien.

A Rome, le fil de l'histoire est partout présent. Les époques se superposent. Petit arrêt pour un espresso chez Tazza d'Oro où se retrouvent les Romains. Devant nous, la coupole du Panthéon haute de 43 mètres impressionne tous les architectes depuis le IIe siècle. Juste derrière, sur la piazza della Minerva trône un petit éléphant de marbre à l'œil coquin surmonté d'un obélisque. Un clin d'œil baroque du Bernin. De là, direction Campo dei Fiori. Le matin, un marché coloré entoure la statue du philosophe et théologien Giordano Bruno qui y fut brûlé pour hérésie en 1600. Plusieurs occasions de revenir : une pizza au Forno Campo dei Fiori ou un dîner intime dans l'atmosphère élégante du restaurant Camponeschi, place Farnèse. L'occasion d'admirer, juste en face, le Palais Farnèse conçu par Michel-Ange, qui abrite aujourd'hui l'ambassade de France.



☆Rome☆

Vacances romaines, de la villa Médicis à la piazza del Popolo Les couleurs chaudes et lumineuses de Rome ont séduit les peintres et les écrivains romantiques puis les cinéastes. Partons à la découverte des lieux qui les ont inspirés. Les haltes de charme sont aussi au programme.
Chateaubriand aimait admirer le coucher de soleil de la terrasse du Pincio. Ces jardins parcourus par les amoureux surplombent la piazza del Popolo. La vue sur la ville est magique. A quelques encablures, gagnons la majestueuse villa Médicis. Sous les légendaires pins parasol du parc, le cardinal Ferdinand de Médicis aménage au XVIe siècle un studiolo (cabinet). Il lui sert de garçonnière. Son décor offre des fresques délicates représentant des oiseaux exotiques, dont le fameux dodo.

Sur la place de la Trinité-des-Monts, rêvons de farniente sur la terrasse ombragée d'un appartement idéalement placé. Dans le film Vacances Romaines, c'est ici qu'habite Grégory Peck. En bas des trois volées de marche conduisant à la Piazza di Spagna, vous entrez dans la maison des écrivains romantiques Shelley et Byron. En face, le salon de thé Babbington, très cosy, rappelle que les Anglais lancèrent la mode du Grand Tour : les jeunes gens de bonne famille devaient parfaire leur éducation avec un séjour prolongé en Italie.

Dans ce quartier cosmopolite, la rue la plus élégante de la capitale est la via dei Condotti. Toutes les marques réputées sont là. Il faut y flâner à l'heure de la «passegiata», cette promenade conviviale et rituelle des Italiens en fin de journée. Au 86, le caffé Greco accueille les hôtes de marque depuis 1760. Goethe, Stendhal, Berlioz et tant d'autres s'y sont arrêtés.

De la piazza di Spagna, je vous entraîne via del Babuino pour un coup de cœur assuré. Le lierre s'accroche sur les palais et les demeures de couleur ocre. Une halte de charme : le salon de thé et le jardin de l'hôtel de Russie. Tout près, les amoureux de la lecture ne manqueront pas la librairie Feltrinelli au numéro 39. Galeries d'art et magasins d'antiquités s'enchaînent jusqu'à la piazza del Popolo. Les Romains s'y retrouvent pour l'apéritif ou le dîner au café Rosati.

Autres bonnes adresses à ne pas manquer :

Le caffé Canova, Via del Babuino, 150 : très tendance, pour un repas en tête-à-tête dans un atelier d'artiste.
L'Art au 56 via Margutta est un luxueux hôtel au décor contemporain très inventif.
☆Rome☆

Parcours gourmands, de la piazza Navona au château Saint-Ange Au Moyen Âge, la capitale de l'Antiquité est devenue une petite cité. Avec la Renaissance, elle retrouve son rang avant de resplendir à l'ère baroque. Une invitation à découvrir ces transformations urbaines tout en dégustant quelques spécialités gastronomiques.
La piazza Navona, ancien stade de l'Empereur Domitien, est devenue la plus célèbre des places baroques. Séduisante illustration de la continuité urbaine de la ville éternelle. C'est là que nous dégustons une spécialité romaine au café Tre Scalini, le « tartuffo » , savoureux gâteau au chocolat. Face à nous, la fontaine des quatre fleuves est l'œuvre du Bernin. On chuchote que le Rio de la Plata lève les bras en direction de l'église Sainte-Agnès parce que l'artiste redoutait qu'elle s'écroule sur sa fontaine. L'anecdote est discutée mais la théâtralité spectaculaire.

Nous gagnons le largo Febo. Sur cette placette arborée, l'hôtel Raphaël est une luxueuse adresse romantique. Via della Pace, les intellectuels se retrouvent dans le décor des années 1920 de l'Antico caffé della Pace. Le metteur en scène Nanni Moretti est un fidèle. L'église Santa Maria della Pace forme avec la petite place à laquelle elle s'intègre un tableau raffiné. Passé le cloître dessiné par Bramante, nous entrons dans la première chapelle de droite. Le riche mécène Agostino Chigi, banquier des papes, choisit Raphaël pour peindre les Sybilles. Au XVIe siècle, on considère que ces prêtresses antiques ont annoncé, comme les prophètes, la venue du Christ.

Toute proche, la via del Governo Vecchio, très animée, offre un grand choix de restaurants et trattorias. Au 73, piazza Pasquino, le bar à vin Cul de sac possède plus de 1500 références. Commander des « antipastis » (charcuteries, fromages notamment). Dans une villa médiévale, l'Hostaria dell'Orso (via dei Soldati 25) est une étape gastronomique avec un piano-bar au rez-de-chaussée. Via dei Coronari, les marchands de chapelets (corone) ont cédé la place aux antiquaires.

Chateaubriand séjournait au Palais Lancelotti. Il raconte qu'à son arrivée dans ce logis en 1803, « une grande quantité de puces lui sauta aux jambes ». Nous arrivons sur les rives du Tibre. En face, le mausolée d'Hadrien devint au Moyen Âge le château Saint-Ange. Le dernier acte de l'opéra Tosca de Puccini s'achève sur ses remparts. Sur le pont qui y conduit, les anges baroques possèdent une grâce sensuelle.

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